Fin mars, la Clause Molière a fait débat : elle oblige l’utilisation de la langue française sur les chantiers publics. Le 27 avril, le gouvernement, après étude de cette clause, la juge.
Après cette position, la région Ile-de-France a décidé de continuer à appliquer cette mesure en invoquant comme argument principal la sécurité sur les chantiers, ainsi que sa volonté de privilégier des entreprises locales.

COORACE Ile-de-France a choisi de se positionner sur ce sujet pour prouver que d’autres moyens plus éthiques sont possibles pour favoriser les entreprises locales. Retrouvez ici le communiqué de presse de la délégation COORACE Ile-de-France.

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